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SOURCE : Là bas si j'y suis
Au nom de l’union sacrée, l’opposition doit se taire. Pas de polémique, c’est pas le moment. Mais déjà, la bande à Macron prépare sa survie et exploite le désarroi général pour mettre en place le retour à la normale, c’est-à-dire au monde d’avant, mais avec moins de droits et plus d’inégalités.
Pour Jean-Luc MÉLENCHON, l’état d’urgence sanitaire est déjà une atteinte à la démocratie. Ces mesures soi-disant provisoires risquent ensuite de passer dans le droit commun, tout comme l’état d’urgence antiterroriste, prétendument exceptionnel, est passé dans la loi, ce qui a permis l’impunité des violences policières.
Pour MÉLENCHON, il est urgent de planifier, de réquisitionner et même de nationaliser. On ne peut pas se contenter de se demander ce que nous ferons après, c’est maintenant qu’il faut lutter contre le maintien au pouvoir de ceux qui ont des responsabilités criminelles dans cette catastrophe.
Au passage, il se dit favorable à l’autorisation de la chloroquine et il évoque l’entretien qu’il a eu avec le professeur Raoult.
Mais d’abord ce titre à la une du PARISIEN, propriété de Bernard ARNAULT : « et si la France faisait elle aussi appel à des médecins cubains ? » [1] !