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SOURCE : Blog de Nicolas Maury
Alors que de nombreux rapports démontrent qu’il n’y a eu aucune fraude lors des élections en 2019, le Tribunal suprême électoral (TSE) a déposé une plainte pénale auprès du ministère public pour fraude présumée lors des élections de 2019.
L’objectif : éliminer le Mouvement pour le socialisme des élections et laisser à la bourgeoisie raciste de Bolivie les mains libres pour privatiser les ressources du pays (Lithium, Gaz…) et détruire les acquis sociaux gagnés sous les mandatures d’Evo Moralès.
Traduction Nico Maury
Dans une déclaration, le MAS-IPSP a averti que “le 15 juin 2020, le Tribunal suprême électoral (TSE) a déposé une plainte pénale auprès du ministère public pour fraude présumée lors des élections de 2019”.
Le message explique que l’action vise “à proscrire le MAS-IPSP et à invalider tous les candidat.e.s du peuple à ces élections”.
À son tour, l’organisation politique a dénoncé “le déploiement d’une intense campagne de haine promue par le gouvernement putschiste” contre ses dirigeant.e.s et militant.e.s.
Le MAS-IPSP a alerté la communauté internationale de la possibilité d’actions violentes contre lui. “Nous demandons que la haine, le racisme, la violence et les percussions cessent”, conclut le communiqué.
L’ancien président a souligné que ces manœuvres sont effectuées lors de la publication de rapports démontrant la victoire du MAS-IPSP lors des dernières élections de 2019.