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SOURCE : Où va la CGT
Brandt, dans la mémoire ouvrière en France, ce sont des grosses usines, parfois très combatives, comme à Lyon (la CIAPEM aujourd’hui disparue), Lesquin, la Roche sur Yon, Vendôme, Saint-Jean de la Ruelle, et d’autres où l’on fabriquait l’électroménager, machine à laver et cuisinières (voir sur Wikipedia).
Ce qui reste du groupe Brandt au fil des restructurations dans la guerre économique mondialisée a été repris par un monopole algérien qui grenouille dans le complexe économico-militaro-mafieux de l’Algérie récente (voir l’article de l’Usine nouvelle ICI). Et comme rien ne change dans ce monde impérialiste, c’est une nouvelle vague de restructurations et de répression qui va toucher cette fois les usines algériennes de Bejaïa et Sétif.
Nous publions ci-dessus l’appel à manifester demain Vendredi 23 octobre à Rueil Malmaison au siège de l’entreprise Brandt, repris par l’UD des Hauts de Seine, pour protester contre cette nouvelle vague de licenciements et affirmer l’unité internationale des prolétaires, au-delà des frontières, et s’il fallait encore le rappeler aujourd’hui, au-delà des religions.
