Le 5 mars l’Université et la recherche s’arrêtent. 10 chiffres pour comprendre

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SOURCE : Contretemps

Grâce au mouvement contre la réforme des retraites, initié par les travailleurs·ses de la RATP et de la SNCF, les facs et les labos sont entrés en lutte dès le mois de décembre 2019, sur cette bataille interprofessionnelle mais aussi sur deux sujets propres au secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche : la loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR), nouvelle attaque néolibérale, et la précarité massive qui touche d’ores et déjà les universités et la recherche, étudiant·e·s et personnels.

L’économiste Hugo Harari-Kermadec, spécialiste de l’enseignement supérieur, rappelle en dix chiffres – et quelques autres – pourquoi l’Université et la recherche s’arrêteront le 5 mars, et pourquoi la lutte va continuer ensuite. Cette liste a été constituée à partir de l’intervention de Marie Sonnette sur France Culture, que l’on pourra (ré)écouter ici.

On pourra également consulter notre dossier : « LUniversité saisie par le néolibéralisme, entre marchandisation et résistances ».


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