Grèce: le bon élève sera quand même puni

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SOURCE : Michel Husson

La Grèce n’était pas la mieux placée pour faire face à la pandémie. Après une décennie de programmes d’ajustement particulièrement violents, le pays retrouvait le chemin d’une reprise hésitante qui n’effaçait pas les empreintes laissées par la crise précédente. En particulier, le système de santé avait été durement touché

Avant la pandémie, les dépenses de santé représentaient 8 % du PIB, contre 9,5 % en 2009. Mais, le PIB avait entre-temps baissé d’un quart, de telle sorte que les dépenses de santé ont en fait baissé d’un tiers, et de 40 % pour les dépenses publiques.


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