Les États-Unis ont publié, le 2 octobre, de nouvelles directives en matière de politique migratoire rendant quasi impossible pour le membre d’un parti communiste “ou de tout autre parti totalitaire”la possibilité d’obtenir un visa permanent ou la citoyenneté américaine, relève le South China Morning Post.

La démarche américaine s’appuie sur une loi datant de 1918 qui qualifiait les communistes et les anarchistes de menaces pour la sécurité en raison de leurs affiliations politiques. Washington “dépoussière sa législation”, commente le journal de Hong Kong. Des exceptions pourraient néanmoins être accordées si le membre du parti peut prouver qu’il y a adhéré “aux fins d’obtenir un emploi, des rations alimentaires ou d’autres éléments essentiels à la vie”.